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Note moyenne de cet épisode: 17.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 8
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russel 
17.0
17.0
Retour impeccable pour le gars Ray Donavan qui assume plutôt bien ses singularités. Ce season premiere malgré quelques petits bouleversements est un condensé de tout ce qui fait la qualité de la série phare de Showtime. Mais loin de se répéter, la série s'épanouit, à l'image d'un Mickey toujours aussi funky même quand il fréquente des endroits pas très reluisants. Ray lui marque un peu le pas au propre comme au figuré, il faut lui accorder d'avoir beaucoup donné de sa personne dernièrement. Ca ne l'empêche pas toutefois d'abattre les exploits même en traînant la patte. Du temple du glory hole à la libération d'otage, il y avait de quoi s'amuser pour une rentrée. Ca c'est pour les alphas. Les assistés (Bunchy, Abby) font un peu n'importe quoi pendant ce temps, la surveillance tutélaire se relâchant. Abby donc toujours aussi horripilante forcément, mais le coup du gros dogue pour remplacer son Ray, ça m'a fait rigoler. C'est vraiment une gamine.
La page Ezra se tourne. On ne situe pas forcément le temps écoulé depuis la saison passée, mais assurément il y a eu quelques pages d'agenda qui ont défilé. Content de voir que les deux sidekicks Lena et Avi sont toujours à bord au bureau. Bon Avi ça coince encore un peu forcément… Comme on n'aime pas perdre trop de temps dans ce show, on a déjà la plupart des nouvelles têtes qui ont été introduites. Malcolm semble devoir faire l'affaire dans le costume du nouveau meilleur client de Ray. Il semble en tout cas à même de lui apporter un peu d'inspiration (même background ?). J'ai entièrement confiance en Katie Holmes pour se rappeler à mes meilleurs souvenirs, c'est-à -dire avant d'avoir été Mme Cruise. Elle n'a pas donné grand-chose en ce jour, mais j'ai un bon feeling. Mais le gros fouteur de merde de la saison, assez discret à ce stade, c'est le père fouineur Romero qui semble devoir reprendre l'enquête enterrée de Kate la journaliste. Ca l'air d'être encore un coriace… Le truc finalement c'est qu'à partir du moment où le bouillon Donovan est excellent, de toute façon vous plongez n'importe qui dedans, il fait des étincelles.
Des petits regrets. Le pimp cowboy Gary Royal sort trop tôt, il avait du potentiel. Pas de Eddie Marsan qui fait la tête au trou ou finissait de tourner Mr Norrell ?
"You'll see, Raymond. It's gonna be a great adventure."
